Au-delà du fait d’être « grave » viennent s’ajouter tout un tas d’effets secondaires, visibles ou non.
Pour les plus visibles, et quand on est femme, la perte des cheveux reste un terrible traumatisme, pire encore à la mauvaise saison, quand le froid se fait mordant.
Alors, hier, j’ai créé ce bonnet tout doux chaud et bien moelleux pour rester confortable. Pas de laine qui pique qui gratte ou qui soit inconfortable. Non, juste une laine mérinos et alpaga douce comme une caresse.
Je l’ai voulu avec du relief et du volume, et intergénérationnel : un pompon si tu as 30 ans sans pompon si tu te trouves ridicule avec, à 70 ans.
Pourquoi ce parti-pris me direz vous ?
Alors c’est plus par goût personnel. En effet, je trouve qu’un bonnet en laine fine, bien moulant, plaqué au crâne, sans volume, ne donne pas bonne mine… reste inconfortable, inesthétique et bien moins chaud.
J’ai voulu une couleur douce et gaie, et bien sûr quelques torsades que j’aime tant.
J’ai choisi ce nom « Entrelacs » parce que dans ces maladies sentiments et ressenti s’emmêlent, se croisent et s’entrecroisent.
Magnifique
Aussi bien pour les points choisis et effectués, que pour la thérapeutique et la personne destinataire
Bravo!
Bientôt en kit ?
Belle idée, merci de penser à nos amies. Je lui tricoterai très vite aussitôt mis en lien . Amitiés virtuelles